#Fekir #Lacazette #Njie #OL |
Depuis 24
heures, franchement c’est caricatural: Il n’y en a que pour la rencontre PSG-
OM.
Impossible d’y
échapper sur toutes les chaînes, qui multiplient des directs aussi passionnants
que celui de l’envoyé spécial dont la coiffure au gel est ébouriffé par fort
mistral, et qui nous explique devant les grilles – fermées - et le logo de la chaîne hôtelière, que les joueurs du PSG
logeront au Pullman Marignane – ça c’est
de l’info –
Et puis ce
déploiement d’envoyés spéciaux qui galèrent entre la Canebière et le Vélodrome,
pour dénicher le supporter
marseillais « type », bien excité, avec « lassan », bien « cacou »,
bien conforme à tous ces clichés selon lesquels il n’y aurait que le foot dans
la vie de Marseille, et que la
haine contre le PSG. Peuchère !
A force de
chauffer à blanc (LOL !: Ceci est un
joke !), ne soyons pas étonnés si demain soir, la troisième mi-temps
se termine en violences. Le déploiement médiatique n’aura alors pas été inutile.
On nous dit,
on nous vend un « classico ».
Quel abus de langage ! Puisque ce terme est une mauvaise copie du terme
espagnol « classique » qui
se dit d’ailleurs « Clasico » et qui concerne les
rencontres Real Madrid – Barça (Et là franchement,
le foot vole haut !) ou encore le superclasico, et là on est en
Argentine.entre Boca Junior et River Plate (Et là, c’est effectivement des rencontres de
ouf !).
Notre lavage
de cerveau par les médias est tel depuis 24 heures, qu’il était impossible de connaître
le score des autres rencontres qui se déroulaient aujourd’hui. Comme par
exemple Guingamp- OL, où l’OL vainqueur 3-1 a repris - en tout cas pour 24
heures - la première place du classement. Mais ça visiblement n’intéressait pas
les médias nationaux. A croire que derrière ces couvertures médiatiques, il y aurait
des histoires de gros sous, de
liaisons dangereuses : TF1 – OM ? Canal – PSG ? Non, cela doit
être du mauvais esprit bien lyonnais !
Dommage qu’aujourd’hui
l’on ait pas plus vu les buts de #FEKIR et de #LACAZETTE. Ils n’ont pas été
achetés à prix d’or, mais leurs performances valent de l’or.
Nous vivons un
e-poque formidable.
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