Que ce soit en foot ou en économie, il faudrait un miracle ….
L'heure est grave: nous sommes à 3 jours de ne
pas avoir notre billet pour Rio, son maracana, son samba, ses garota et autres
moça.
A moins d’un miracle.
Ce qui n’est pas impossible: "Il faut y croire", nous disent en chœur Nasri, Ribery,
Deschamps ... TF1, les sponsors, les journalistes qui en juin prochain risquent
fort de se retrouver non à Copacabana mais à Paris-plage.
Je ne vois donc plus qu'une seule solution: La
grotte de Lourdes.
Annulons la préparation à Clairefontaine pour une immersion
collective dans la source miraculeuse, le tout filmé en direct live
"breaking news. De toute façon, ça ne pourrait pas faire de mal. Ce
serait même excellent pour l'économie de la cité pyrénéenne sinistrée par les inondations de l'été dernier. Et puis ce serait encourager le
Made in France. Bernadette, le monde entier nous l'envie, mais jamais copiée,
jamais imitée, même pas par les Chinois. Et sans être anti clérical, quelle
créatrice d'emplois! Des emplois non délocalisables, dans une région
qui sinon, aurait été plus sinistrée qu'Hagondange ou Florange.
Montebourg : Qu’attends-tu ? Comme tu l'avais fait en son temps avec les pull marin, prends la tête d'un grand pèlerinage national, pour la France au Brésil et pour le
redressement productif de notre pays. Un miracle pour deux causes perdues.
Renouons avec cette tradition quand nos ancêtres désarmés devant les ravages de la peste, s’en remettaient à la
Vierge noire. Des fois, ça marchait. Et ça a donné Le Puy-en-Velay, Fourvière, Notre-Dame de la
Garde (?). Souvent, ça marchait pas, mais là, il n’y a plus personne pour
raconter !
On
y croit : Dans 3 jours, les bleus se qualifieront. Et le 31 décembre, la
courbe du chômage se sera inversée. "Paris vaut bien une messe", aurait dit Henri
IV. Le Brésil vaut donc bien un pèlerinage. Quant à la sortie de crise, il y a toujours Sainte Rita, la Sainte des causes désespérées.
Nous vivons une e-poque formidable
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