Quelle époque ! Pardon, quelle « séquence » ! Comme diraient nos confrères et consœurs journalistes politiques qui, ce n’est pas la crise pour tout le monde, multiplient les émissions de débat, de décryptage, de commentaires, de gloses quoi ! sur la- à venir-campagne électorale.
Attention : « Je n’ai que des ami(e)s dans la profession » Et à mes mots, j’ajoute naturellement ce geste de la main qui mime, quoi déjà… ? Ah! oui, le coup de poignard dans le dos.
Donc je ne vise ni untel, ni untelle, mais ce débat l’autre soir sur une chaîne d’infos en continu, animé par l’excellent Biiiiiip et où le passionnant Tuuuuuuut laissa tomber d’un air savant : « La séquence actuelle pourrait se résumer à la question de la synchronisation entre le candidat et le parti ». Et autour de lui, tout le monde d’opiner du chef (ce qui en français veut aussi dire, de la tête).
Alors là, ça m’a réveillé. Putain, mais c’est bien sûr. On n’y aurait jamais pensé: Pour qu’un candidat gagne, il vaut mieux qu’il soit soutenu par ses partisans. Heureusement qu’il y a des experts ( oh ! celui-là, il a au moins dû faire Sciences Po) pour nous remettre les idées en place.
Et quand je pense que la campagne n’a même pas commencé, cela nous promet quelques beaux florilèges de portes ouvertes enfoncées !
Nous vivons une e-poque formidable
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