Il n'y a pas que les acteurs comme De Niro qui pense que Trump est un clown. |
Stop, bas les masques, la ficelle est trop grosse :
Donald Trump a été payé par l’establishment américain, les bobos new-yorkais,
les élites de Washington, les réseaux des Clinton, pour faire élire Hillary
Clinton.
Pour l’instant la machination n’est pas encore connue du
grand public, mais elle éclatera au grand jour en novembre, mais ce sera après
le 8 , donc juste après les élections.
Vous croyez que c’est bidon ? Mais il y a trop
d’indices qui vont dans ce sens.
D’abord il fallait gagner les primaires. On ne s’en souvient
plus, pourtant c’était il n’y a pas 3 mois. Quand on pense qu’en France,
certains ironisent sur le nombre de candidats aux primaires des Républicains: 7. Aux Etats-Unis, ils étaient 17. Ça c’était la phase 1 :
Diviser pour régner. L’éparpillement des candidats est allé de pair avec le
côté folklorique de certains, et ça c’était la phase 2 de la conspiration :
Il y avait d’abord le fils de, le frère de : Bush,
qualifié par Trump de candidat basse énergie. Franchement après les présidences
catastrophiques des Bush, oser se
présenter sans changer de nom, c’était …osé.
Il y a avait le genre bigot: Le prédicateur Mike Huckabee
qui était un peu comme si le curé de la paroisse intégriste Saint-Nicolas du
Chardonnet était candidat. Bien sûr une femme, et un noir, Ben Carson, un
neuro-chirurgien brillant du moins quand il se contentait d’opérer. Le reste du
temps lui aussi virait dans l’intégrisme – protestant.
Et ensuite bien sûr deux candidats latinos, ce qui est
d’ailleurs un signe. Si le prochain Président des Etats-Unis pourrait être une
femme, le Président d’après a de bonnes chance de s’appeler Miguel ou Mario.
Car les latinos ne seront plus une minorité mais pratiquement aussi nombreux
que les américains d’origine européenne, et surtout anglo-saxonne. Mais Ted
Cruz et Mario Rubio se sont annulés l’un l’autre.
Et in fine il est donc resté Donald. Et c’est ça, la grande
machination. Parce qu’il va réussir à faire élire Hillary Clinton. Trump est
tellement caricatural, tellement ... - c’était quoi l’expression de Robert de Niro ? « bozzo », clown - que
même l’Amérique profonde qui avait autrefois voté pour un acteur, Ronald
Reagan, ou pour les Bush, commence à douter.
Alors au soir de sa victoire, le 8 novembre, Hillary pourra
dire : Merci Donald !
Quand on pense que nous nous plaignons de nos institutions
et de notre classe politique « malades », dans ce cas-là, les
Etats-Unis sont subclaquants.
We are living in an exciting e-ra !
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